Le gouvernement dit qu’un chômeur doit travailler ou créer pour changer le regard des gens. Moi je dis, plus facile à dire qu’à faire dans certaines situations. Quand les banques nous ferment la porte pourquoi ne pas faire appel à l’ADIE?
Sortir d’une situation précaire c’est souvent créer son propre emploi. Pour cela, une création d’entreprise s’impose et même si les idées et le projet sont là, le financer son projet, il faut alors s’armer de courage et d’astuce.
pour les mener à bien, fait souvent défaut. PourEn cherchant bien, j’ai trouvé une alternative au refus des banques: le micro-crédit de l’ADIE. Cette solution s’adresse non seulement aux chômeurs et au rmistes désirant créer mais également aux salariés et indépendants, confrontés à une situation de précarité avérée, souhaitant voler de leurs propres ailes.
Attention, il ne s’agit pas de financer l’intégralité de votre projet car l’ADIE peut proposer des plans de
allant jusqu’à 10 000€ (prêt d’honneur, aides et subventions comprises) mais c’est un bon moyen de démarrer son activité tout de même. De plus, l’offre de prêt émanant de l’ADIE peut être ajoutée à un prêt de matériel (ordinateur, véhicule, etc.).2. L’ADIE, une association qui se bouge
Par ses différents dispositifs d’aide, l’ADIE permet à de nombreux projets de se monter. Environ 42% sont des commerces et 23% des activités de services. De nombreuses sociétés de services à la personne, secteur en pleine explosion, en ont d’ailleurs bénéficié en 2008. Certes l’ADIE ne prête pas à taux d’intérêt nul, mais l’avantage c’est réellement l’écoute, l’accompagnement et les astuces que l’on peut retirer des entretiens avec les membres de l’ADIE.
L’ADIE milite pour tous les exclus de la création d’entreprise et facilite l’accès aux informations comme aux financements. C’est d’ailleurs pourquoi elle a créé CréaJeunes pour aider les jeunes de moins de 26 ans et des actions pécifiques pour aller à la rencontre des entrepreneurs implantés en zone rurale. Elle continue par ailleurs à diversifier son offre en expérimentant des assurances spécifiques pour les bénéficiaires de ses micro-crédits dans 4 régions de France